Lettre à Madame Céline Amaudruz : Du danger d'être "trop"

Madame la Députée et Conseillère nationale élue,

Permettez  à un citoyen lambda de vous écrire ces quelques lignes pour vous féliciter de votre brillante élection à la Chambre basse de notre Parlement.

J'ai vu dans votre video-clip que vous êtes et serez à l'écoute de la population...avant que de proposer des solutions à tous les problèmes de notre pays. Celui de la sécurité dans nos villes, n'est pas le moindre et je partage votre combat pour le retour à la quiétude dans nos villes, tel que je l'ai vu exposé dans votre video clip sur youtube.

Cela dit, j'ai été outré de l'outrecuidance d'un de vos collègues au Grand Conseil de Genève répandant son fiel habituel sur son blog de La Tribune de Genève.  Pa étonnant qu'il soit au MCG ! La vulgarité de sa prose nauséabonde aura soulevé le coeur de plus d'un citoyen. Ce pitre oeuvre parmi ceux qui aboient sans agir et - ce qui est pire - sans penser. Heureusement pour nous qu'il a choisi les rangs du MCG. Pour se convaincre que les clameurs des vociférants et vitupérants ne visent qu'à se faire mousser en déclamations aussi stupides que stériles, il suffit de contempler les mauvais acteurs jouant la même farce stupide et stérile à chaque séance du Conseil municipal ou du Grand Conseil de Genève.

Votre brillante élection au Conseil national connue, il était dans l'ordre cosmique que ce singulier détracteur acariâtre ressente une profonde frustration à l'annonce de votre triomphe électoral en constatant le chemin qui lui reste à parcourir pour s'extirper de son rôle de simple figurant muet, pouffant de rire ou ricanant mais ne prenant jamais la parole. A en juger par la bassesse de son texte, il lui faudra bien des efforts s'il veut se hisser à votre niveau d'excellence.

Pour cet individu sans qualités, vous êtes "trop", comme disent les jeunes. Trop brillante, trop éblouissante, trop diplômée, trop sportive, trop aisée, trop lucide, trop avisée,  en un mot: trop ...femme admirable et admirée. Vous comprendrez que le spectacle insupportable de vos qualités puisse en  agacer plus d'un et plus d'une surtout. Cette haine n'est donc que le produit de la jalousie !

Pour lui, l'Aube ne s'est pas encore levée. C'est bien là le titre d'un navet, relégué aux oubliettes de l'Histoire du 7e Art, que cet atrabilaire avait eu la hardiesse et l'mpudence de tourner, si j'en crois Google et d'autres moteurs de recherche. Rien de nouveau depuis Molière ! Quand à l'emprunteuse téméraire, la rouée ex du PDC Marie-Thérèse Engelbert, elle prouve la justesse de la maxime: Qui se ressemble s'assemble. Les oiseaux de mauvais augure ont tendance, en effet, à voler de concert.

L'honorable députée au Grand Conseil, co-signataire du texte méprisable, ne sait probablement pas que son compère du MCG s'est associé à un faussaire notoire et repris de justice, Fernand Legros, pour accoucher de son navet.

A votre place, Madame la Députée et Conseillère nationale élue, je m'en badigeonnerais le cristallin avec le pinceau de l'indifférence, même si vous devez côtoyer des gens de cette espèce au Grand Conseil de Genève.

Le texte abject en question n'est ni anobli ni ennobli par l'auto-proclamé Sir Henry. Un authentique triste Sir, garanti grand teint, comme le dit un blogueur.

En vous souhaitant de pouvoir remplir votre mission et atteindre tous vos buts dans les rangs de l'UDC au sein de notre Parlement fédéral, je vous prie de croire, Madame la Députée et Conseillère nationale élue, à l'expression de ma parfaite considération.

Robert Würtemberg
Civis genevensis

PS: Si vous y tenez, voici où pourrit la prose d'un triste Sir qui écrit avec l'anagramme de son  Luc